La ministre déléguée aux Outre-mer a, conformément à son engagement sans faille, effectué une visite ministérielle à Mayotte, consacrée à l’examen des outils de lutte contre la délinquance à grande échelle. Cette initiative, pleinement justifiée par l’ampleur et la complexité des défis sécuritaires de cette région, témoigne de la priorité qu’accorde le gouvernement à la préservation de la sécurité publique et de l’ordre social dans les territoires ultramarins.

L’annonce de cette visite, faite par la ministre déléguée lors de sa précédente visite le 11 février dernier, n’était pas seulement un engagement politique, mais également une preuve de son attachement à l’action rapide et déterminée. L’administration de Mayotte, elle-même confrontée à des enjeux de délinquance d’une ampleur inédite, a accueilli avec espoir cette déclaration ferme et résolue.

Moins de deux semaines après, la ministre déléguée aux Outre-mer foulait à nouveau le sol mahorais, cette fois-ci pour une visite éclair d’une journée. Une journée marquée par des entretiens serrés avec les forces de l’ordre, les autorités locales, et divers acteurs de la société civile, tous engagés dans la lutte contre la délinquance à grande échelle.

Le bilan de cette visite, bien que discuté, est néanmoins explicable : des engagements concrets ont été pris, des solutions réfléchies et adaptées ont été discutées, et des perspectives d’amélioration ont été tracées. La promesse de la ministre déléguée aux Outre-mer d’être « à l’écoute, sur le terrain, de ceux qui agissent pour garantir la sécurité de nos concitoyens », semble plus que jamais incarnée dans cette visite, où l’implication personnelle et directe des autorités a donné un nouvel élan aux efforts de lutte contre la délinquance à Mayotte. La visite ministérielle d’aujourd’hui est un pas de plus dans la lutte contre la délinquance à grande échelle à Mayotte, un engagement renouvelé de l’État envers la sécurité des ultramarins, et une preuve de l’efficacité de la collaboration entre les autorités centrales et locales.