
Depuis le 2 septembre 2024, les autorités mauriciennes ont lancé une série d’opérations appelées Crackdown pour lutter contre le trafic humain et l’exploitation sexuelle. Ces descentes visent des lieux où des femmes, y compris des migrantes, sont exploitées. Bien que certaines interventions n’aient pas toujours révélé des activités illégales, elles mettent en lumière les efforts des forces de l’ordre pour surveiller et éradiquer ces pratiques.
Des réalités complexes
À Goodlands, une Malgache et un Bangladais ont été arrêtés pour séjour illégal, illustrant les précarités des migrants souvent exposés à l’exploitation. Dans le sud, deux travailleurs népalais ont dénoncé des abus, soulignant l’exploitation économique subie par des travailleurs étrangers.
Un engagement des autorités
Les autorités mauriciennes, avec la CID, montrent une volonté ferme de protéger les victimes et de poursuivre les auteurs d’abus, bien que des défis, comme la difficulté à identifier les victimes, persistent.
Nadia RAKOTOARISOA


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